Sa taille et sa situation idyllique au bord du Léman semblent prédestiner la ville à devenir l’ambassadrice du tourisme doux dans le pays
Morges est la première ville helvète à rejoindre ce mouvement, cousin du slow food. Si ce dernier vise à prendre le temps de retrouver la saveur des aliments locaux, la déclinaison touristique du slow invite les visiteurs à se donner le temps de partir à la rencontre d’une région, de ses traditions et de ses habitants. Véritable antidote au stress de la vie quotidienne, cette initiative les encourage aussi à adopter un comportement écoresponsable en voyage. Pour prolonger cet engagement, il paraissait naturel que Morges soit également la première destination de Suisse romande à rejoindre la Fondation myclimate. Désormais, Morges Région Slow Tourisme propose donc aux hôtes d’investir volontairement une petite somme dans la protection du climat et la durabilité lorsqu’ils réservent leurs activités via Internet. Une partie de leur contribution sert à réduire les émissions de gaz à effet de serre liées à l’offre et ira financer des projets de protection du climat de haute qualité de la Fondation myclimate. Le produit ou service devient alors climatiquement neutre.
